un petit clin d’oeil à Paul ; j’ai fait la même chose en partant de Vezelay, 2 ans après le diagnostic, et ça m’a fait un bien fou. J’ai déconnecté de toute cette angoisse sur l’avenir, ce stress devenu permanent, bref j’ai pris du recul et décidé de « faire avec » puisque Parkinson s’est invité dans mon sac à dos et ne me quitte plus !
Cette année je suis partie sur le tour du Mont Blanc, un défi beaucoup plus physique que Compostelle. Le 3e jour, 1400 mètres à monter jusqu’au refuge de la Croix du Bonhomme, j’ai cru que je n’y arriverai pas. Et finalement je l’ai fait !
Françoise
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Par : Françoise Forien
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